Tout d’abord, nous tenons à souligner que l’Église ne considère les « reliques » que et exclusivement comme des parties du corps (ou des objets sacrés qui sont entrés en contact direct avec lui) ; en aucun cas, il interdit toute forme de commercialisation. Tout autre matériel ne peut en aucun cas faire l’objet d’une dévotion. Chaque histoire de sainteté est unique et irremplaçable, et en tant que telle, elle est toujours caractérisée par son propre style qui se distingue par sa propre manière spécifique de s’exprimer. Qui a connu Chiara sait à quel point sa manière d’être était éloignée des formes dévotionnelles de ce type, notamment en ce qui concerne sa personne. Par conséquent, il n’y a pas de reliques de la bienheureuse Chiara Badano (de toute classe), et elles n’existeront pas non plus à l’avenir. En ce sens, ceux qui veulent être vraiment proches d’elle doivent savoir qu’à notre avis aucun objet n’est nécessaire pour approfondir leur relation avec elle : à l’exception de la prière, langage intime du cœur, et surtout, partager les mêmes idéaux de sa vie, Le même principe éthique a suggéré aux parents à prendre la ferme décision de ne pas autoriser les formes de marketing qui utilisent le nom ou l’image de Chiara à des fins lucratives. De même, les membres de la famille recommandent, lors des visites à la chapelle familiale où Chiara repose par désir, de respecter son décor sans y déposer d’objets, même petits, plutôt dévolus l’équivalent en oeuvres de bien de toute nature. Une boîte pour les petites notes est placée sur la porte extérieure, où vous pouvez laisser vos propres pensées.